ActualitéAuto - Mobilité

Des millions de tonnes de CO2 économisées grâce aux véhicules électriques

Un rapport diffusé par le constructeur indique que la communauté de propriétaires Tesla a permis, en 2022, l’économie de plus de 13 millions de tonnes métriques de CO2 dans l’atmosphère. Cela équivaut à plus de 53 milliards de kilomètres de pollution à équivalence thermique, avec les voitures qui roulent au gasoil ou à l’essence sans plomb.

Ces données chiffrées ne sont qu’une partie des avantages du véhicule électrique. Ne parlons pas ici de la pollution urbaine, des maladies générées contre les habitants des grandes villes, des mauvaises odeurs, des pannes mécaniques.

Si le bilan carbone d’un véhicule électrique n’est pas totalement neutre, en grande partie du fait de sa construction et des matériaux nécessaires pour constituer sa batterie, il n’y a en revanche aucun impact en CO2 lors de son utilisation, durant son cycle de vie post production. On peut simplifier en disant qu’une voiture électrique cesse de polluer une fois qu’elle est produite, ce qui n’est évidemment pas le cas des véhicules thermiques qui rejettent quantité de CO2 au moindre kilomètre parcouru.

Tesla sauve CO2

Bien sûr que l’extraction de matières premières est énergivore, que la recherche de métaux rares a un impact important sur l’économie et l’écologie de certains pays du globe, il ne faut pas non plus se focaliser là dessus sans comprendre la vision à long terme.

Toutes les révolutions industrielles et innovations techniques majeures ne se sont pas appliquées en quelques mois et les premières versions n’étaient pas parfaites. C’est toujours une stratégie à long terme, un investissement important pour une rentabilité future, que ce soit financière, écologique, idéologique… Il ne faut donc pas conclure sur l’intérêt écologique du véhicule électrique avec nos connaissances d’aujourd’hui. La vision à long terme doit prévaloir mais il faut prendre le temps de se renseigner, s’instruire, au lieu de lire les médias grand public sans esprit critique.

Ainsi, même si on pourra crier au « greenwashing« , le long rapport Tesla Impact 2022 donne des informations sur la situation actuelle mais surtout sur les prévisions futures, tant au niveau des véhicules que de la production d’énergie en général.

Quelques exemples :

  • production 100% renouvelable du réseau de recharge rapide Tesla Supercharger
  • efficience des modèles Tesla par rapport aux VE concurrents
  • décarbonation de la fabrication d’un véhicule électrique

Les 224 pages du rapport sont à découvrir sur ce lien. Encore une fois, tout n’est pas parfait mais Elon Musk a au moins le mérite d’aller dans la bonne direction !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page